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18 Mar

Révélation troublante d’un employé de morgue : «J’ai couché avec près de 500 cadavres»

 

 

«Je me prénomme Issiaka. Je suis né au pays des hommes intègres, mais j’ai grandi en Côte d’Ivoire. A l’âge de 4 ans, j’ai regagné la ville d’Abidjan avec mon père. ma mère qui refusait de le suivre a préféré rester au Burkina Faso. notre insertion au sein du tissu social ivoirien a été plutôt facile. Très vite, je me suis attaché à mes petits camarades du quartier qui n’arrêtaient pas de se moquer de la façon dont je m’exprimais.

 

Chaque matin, ils prenaient le chemin de l’école. Quant à moi, je devais attendre leur retour afin de profiter de nos jeux quotidiens. Cette période fut mon enfance. Puis arrive la jeunesse. J’étais majeur et j’avais entre 18 et 20 ans. Je peinais à avoir une copine comme tous les jeunes de mon âge. Même celles de ma tribu refusaient de m’avoir comme leur mari. J’ai tissé des liens avec Fodé, un jeune mossi. Avec lui, je faisais presque tout. On était très complices, mais il était un peu plus âgé que moi.

 

Fodé travaillait souvent très tard dans la nuit et était indépendant. Il vivait avec une femme. Voulant acquérir aussi mon indépendance auprès de mon père, j’ai sollicité le soutien de Fodé afin qu’il m’aide à trouver du travail. Un matin, à sa descente du boulot, pendant que nous étions en train de discuter de tout et de rien, Fodé me raconta en quoi consistait réellement son travail. En fait, il était employé de morgue dans un Chu de la capitale.

 

A travers ses dires, je compris qu’il balançait du revers de la main toutes les appréhensions et autres préjugés que les uns et les autres avaient de ce boulot. Il relatait ces faits avec un tel enthousiasme qu’il est tout de suite parvenu à me mettre en confiance. Automatiquement, je voulais faire comme lui. En fin de soirée, il me demandait de le suivre. Arrivé au sein du centre hospitalier, Fodé m’emmenait voir un homme. Celui-ci nous confia que le personnel dudit centre était déjà en nombre. Cependant il a promis me trouver quelque chose.

 

Ce soir-là, je retournais découragé à la maison, laissant mon ami vaquer à ses occupations. Le lendemain matin, après sa garde au Chu, il expliquait qu’il avait plaidé mon cas auprès de son supérieur toute la nuit durant. et qu’il a eu des oreilles attentives. Par conséquent, je devais donc commencer le travail une semaine plus tard. heureux, j’étais si impatient et attendre une semaine de plus m’a paru comme une éternité. Enfin, arriva le jour où je devais commencer le travail.

 

Analphabète, mon travail consistait tout juste à conserver les dépouilles mortelles à une température de -2° Celsius. Les formalités administratives concernant le transfert des cadavres étaient réservés à ceux ayant été à l’école. En clair, j’étais brancardier. Ainsi débutait mon job de manipulateur de corps humains sans vie. Dans les premières semaines, j’avais des sueurs froides. Souvent, j’avais des sensations bizarres en manipulant les cadavres. Mais, avec le temps, je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas lieu d’avoir peur.

 

Après plusieurs années à exercer le métier, j’avais toujours du mal à trouver une compagne. A 30 ans, j’étais toujours puceau et je n’arrivais pas à séduire les filles à cause de mon travail morbide. Les femmes ne voulaient pas de moi. Et je ressentais de plus en plus l’envie d’avoir des rapports sexuels. Pourtant, à la morgue, je voyais défiler sous mes yeux de nombreux corps de femmes aussi belles les unes que les autres. même si ces corps étaient sans vie, certains gardèrent leur beauté légendaire.

 

C’est ainsi qu’est né mon vice pour la nécrophilie. Une nuit, aux environs de 2 heures du matin, mon collègue brancardier et moi qui étions de garde ce jour-là avons reçu le corps d’une femme vieille d’une cinquantaine d’années. J’ai insisté qu’il aille se coucher afin que je m’occupe seul de la dépouille. Seul, il ne me restait plus qu’à accomplir ma sale besogne.

 

A vrai dire, c’était difficile pour moi de le faire pour la première fois. Je me suis senti mal en point en manipulant le corps de cette vieille. On aurait dit qu’elle refusait d’être possédée. J’ai donc arrêté toute manœuvre et placé le corps dans son casier avant de retourner me coucher. Une heure plus tard, arrivait celui d’une jeune fille d’environ vingt ans. Voyant son beau corps sans vie étalé devant moi, je ne pouvais me retenir. J’étais bien plus à l’aise à manipuler ce corps comparativement à celui de la vieille dame. Je passais alors vite à l’acte.

 

Entre 3 heures et 5 heures du matin, j’ai eu trois fois de suite des relations avec le corps sans vie de cette jeune fille. Je me sentais soulagé. et je venais de passer un cap. toutes les autres fois ont suivi. Parfois, tard dans la nuit, quand je suis à la morgue, je me dirige vers un corps de femme frais et je me soulage. Les gens ne se rendent pas compte, mais il nous arrive de recevoir en moyenne, en une seule nuit, plus de 15 cadavres de femmes. Lorsque l’envie se présente, il m’arrive de coucher avec elles toutes en moins d’une semaine.

 

Chaque fois, lorsqu’on reçoit un corps féminin, je suis l’homme le plus heureux de la morgue. Cette attitude devenait pour moi quelque chose de normale. Au fil du temps, je me disais qu’avoir des rapports avec les corps sans vie faisait aussi partie intégrante de mon boulot. Aujourd’hui, j’ai 48 ans. Je totalise près de 25 ans d’années d’expériences en tant qu’employé de cette morgue.

 

Et je réalise que j’ai violé près de 500 cadavres de femmes. Des riches aux pauvres, des fines aux rondes, celles qui n’auraient jamais accepté mes avances de leur vivant. Dans le séjour des morts, leur corps est à ma merci jusqu’au jour du départ vers leur dernière demeure. Aucun de mes supérieurs hiérarchiques, ni même mes collègues, ne se rendent compte de ce que je fais sur les corps des femmes qu’on conserve. Je me sens bien.

 

Aujourd’hui, grâce à ce boulot qui me fait vivre, je suis en couple avec une charmante fille. Cependant, avec cette dernière, j’ai du mal à ressentir le plaisir langoureux et libidinal que je ressens lorsque je couche avec les femmes mortes de la morgue. Plus le temps passe et plus mon addiction pour la nécrophilie s’accentue.»

 

Issiaka y.

 Source:

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