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05 Sep

Afrique du Sud: "Fatigué de manger de la chair humaine", un homme se rend à la police

En Afrique du Sud, un homme s’est rendu de lui-même à la police expliquant aux forces de l’ordre qu’il était "fatigué de manger de la chair humaine".

Une histoire à peine croyable. La chaîne de télévision africaine eNCA a dévoilé lundi un effroyable cas de cannibalisme. Un Sud-Africain s’est rendu de lui-même à la police vendredi 18 août en expliquant être "fatigué de manger de la chair humaine".

Au moment d’avouer son crime, l’homme, décrit par les médias locaux comme étant un "guérisseur traditionnel", a remis une jambe et une main aux enquêteurs en guise de preuve. Il les a ensuite conduits dans la ville où s’est déroulée le meurtre, à Estcourt, où les restes du cadavre ont été trouvés dans une maison.

La police le soupçonne d’avoir violé, tué et mangé une femme avec d’autres personnes. Deux autres hommes ont ainsi été arrêtés pour le meurtre et un autre est poursuivi pour possession de restes humains. Les suspects sont âgés de 22, 29, 31 et 32 ans.

"Voici la maison d'Escourt où un guérisseur traditionnel aurait découpé et mangé plusieurs victimes."

La police découvre 8 oreilles

Mais l’horreur ne s’arrête pas là. Un conseiller local pense que davantage de corps pourraient être retrouvés. "Quand la police a fait ses recherches, elle a découvert 8 oreilles. Cela veut dire qu’il y en a beaucoup d’autres", a déclaré Mthembeni Majola à la chaîne eNCA

"Les trois suspects auraient tué une femme avant de la découper. Ils auraient consommé sa chair tandis que d’autres parties de son cadavre auraient été partagées avec le quatrième suspect à Amangwe", a expliqué le porte-parole de la police Charmaine Struwig.

Un autre porte-parole a déclaré que le crime a eu lieu vendredi dernier, le jour où le principal suspect a confessé son crime au commissariat.
Par ailleurs, la police le soupçonne d'avoir violé des tombes à la recherche de morceaux humains.

"L’accusé est aussi soupçonné d'avoir violé des tombes à la recherche de parties humaines. Mais les policiers enquêtent toujours."

Source : news.sfr.fr

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