Wala un wé on cherche à éviter comme quinquin à Abidjan ici : embouteillage. Faut pas 19h va te siri dans son koulangayo. Agban c’est sans manquer. Hier à Poy, de Porex à Niangon, j’ai gnimi 2 h gbanzan. Mon rognon était mal chaud.
Ca chauffe pour toi aussi paé tous les carrefours ont même maladie là. Feu là marche jamais ou on calcule jamais feu là ? Abidjan est gnagami : les routes sont gbante, les kotché sont là devenir waaah et tout le monde est pressé. Connaisseur connait heure ahè secteur d’embouteillages, mais gbonké te djô en magatapé.
Un kpayaye soahé ou un zaillement de moteur, wala toi dans embouteillage. Les frappeurs voient ça en lasso de bahi. Ils sont pas seuls. Ton essence béou mais toi tu béou pas. C’est là tu prends drap des zinzins de volant sur trottoirs, sens inverses, raccourcis.
Chacun crée sur os pour fraya ennui là. Sinon faut trizer tes nerfs et attendre, attendre, attendre. A chaque arrêt wala toi en retard, wala toi dans rendez vous raté. Si tu dois béou kaba-kaba à l’hôpital, tu es resté. Boh, ton gomi va faire bébé dans woyo ou bien ton môgô malade peut douff avant d’arriver.
C’est trop mal soa. Tout le monde est wôrô de ça. Mais qui fait effort pour que ca roule djaz ? Amusement à part !
Astiko.
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