Son acte malveillant ne pouvait être oint. Et son « salaire » a été la mort. C'est l'histoire d'un malfaiteur, foudroyé par la mort alors qu'il croyait opérer tranquillement. Les faits ont eu lieu dans la nuit du jeudi 8 au vendredi 9 mai 2014, au quartier « Avocatier » à Abobo.

Les informations nous indiquent en effet que, le matin du vendredi, G_LF se rend dans son bistrot pour y mettre de l'ordre, avant bien entendu que celui-ci ne soit ouvert au public. Mais lorsqu'il ouvre les portes de son petit établissement, stupeur_ Un corps sans vie y est étendu_ Il file immédiatement alerter le patron du commissariat de pol ice du 32ème arrondissement.

Ce dernier dépêche des agents sur les lieux, aux fins de constater les faits_ Dans la main gauche du défunt, identifié comme étant Méité Orissa, un garçon de 35 ans qui ne serait pas de moralité à copier, un interrupteur_ Et près du corps, totalement rigide, un sac renfermant des fils électriques et autres tournevis_

Les rapides investigations de la police font ressortir que, Méité Orissa était nuitamment venu cambrioler le bistrot, quant il a reçu une violente décharge électrique_ Décharge qui lui a été fatale_ Les constatations achevées, nos sources expliquent que le corps à la bouche et aux yeux grandement ouverts, est enlevé et transféré à la morgue d'Anyama_

Madeleine TANOU

Soir Info