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16 Jui

Mariée à huit ans, elle décéda à sa nuit de noce sur son lit rouge de son sang

En Occident, nos petites filles de huit ans se déguisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revêtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage… forcé. Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, âgée de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.

Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informé par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragédie silencieuse, vécue par cette petite mariée de huit ans. Un médecin travaillant dans l’ hôpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir été au courant de « l’incident » mais qu’il était trop tard pour intervenir, la région où se produisit ce drame étant trop éloignée de la ville.

Certains passages pourraient heurter la sensibilité, mettre mal à l’aise des lectrices et des lecteurs, car ils décrivent crûment les relations sexuelles infligées à la mariée-enfant par son « mari » bourreau.

En acceptant de publier ce récit, Jean-Patrick a permis de rendre hommage à cette petite inconnue, dont le fragile souffle de vie lui fut enlevé par un homme brutal, un de ces nombreux désaxés du sexe, qui, pour assouvir ses désirs pervers, en toute impunité, à l’abri du coran, a suivi l’exemple de son prophète en épousant une enfant de huit ans. Je remercie Jean-Patrick pour cela, car il fut au début réticent.

Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge.

Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.

L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.

Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.

La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine.

La fête était terminée et le soleil se couchait, il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers. Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.

Ce mollah, au physique imposant, était lourd et avait un gros pénis. Il se jeta sur l’enfant et commença à pénétrer le vagin de la petite fille. Après plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustré. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientôt mourir, sous ses assauts furieux, était très frêle et toute menue et que l’orifice de son vagin était trop étroit. Seul l’assouvissement de son désir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et déchira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pénétrer.

La pauvre petite commença à saigner, à un très mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah était beaucoup trop frustré de ne pouvoir la pénétrer pour se soucier des conséquences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligées. La fillette avait son foulard enfoncé dans sa bouche, elle pleurait terrorisée, seule face à ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas éveiller l’attention des personnes à l’extérieur de la chambre. Selon la coutume, en vigueur dans certaines régions afghanes, le marié doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyé le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginité.

Le mollah, en rien rebuté par l’atrocité de son acte, entra son pénis dans le vagin de la petite fille, qui saignait déjà abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya. L’enfant continuait à saigner, mais personne n’était là pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait été considéré comme une honte pour lui et la famille de la petite mariée.

Cette dernière savourait tranquillement une tasse de thé dans la pièce voisine. La petite mariée de huit ans continua à saigner et entra dans un choc traumatique à cause des hémorragies internes provoquées par la violence des relations sexuelles forcées ». Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’âme de la fillette, dont le petit corps fut profané et souillé par un pédophile de la pire espèce, avait rejoint les étoiles dans la voûte céleste.

Le mollah déclara qu’ elle était pâle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang séché. Elle était livide, car elle était exsangue . Ses yeux étaient ouverts, car elle avait tremblé en mourant et ses mains étaient en position de prière, comme si elle récitait la prière de sa propre mort.

Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille. Comme cette personne était un ami personnel du mollah,  un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se débarrassa des draps ensanglantés. Puis ils enveloppèrent le petit corps martyrisé dans un drap blanc et informèrent la famille et les autres invités de la mort de la « mariée ».

Ce matin là, la famille de l’enfant pleura tristement sa mort, sans demander une quelconque explication sur la cause du décès, ils prirent le corps de la fillette pour le laver selon le rituel religieux musulman.

Le mollah, étant un homme d’une grande influence dans le village, les femmes qui lavèrent le corps de la petite fille n’osèrent pas demander une explication quant aux blessures autour du vagin de l’enfant. Vers 10 heures du matin, le corps de la petite mariée et morte de 8 ans fut emmené au cimetière et enterrée. Sa vie sur terre était terminée et pour le mollah, la page était tournée. Il y avait d’autres petites filles à acheter pour satisfaire ses fantasmes sexuels.

L’ami proche du mollah, au courant du calvaire vécu par l’enfant, fut révolté et décida de raconter l’histoire à un ami, qui informa le journaliste. C’est ainsi, que le récit de la terrible nuit de noce de la petite mariée de 8 ans parvint à votre connaissance. Le mollah aurait quand même déclaré avoir eu « mauvaise conscience » à propos de ce qui s’était passé. Il fut donc pardonné. Après tout, il ne s’agissait que du viol d’une petite fille innocente, un être sans importance, un objet sexuel … facilement remplaçable.

Le jour suivant la publication du récit par Kazemi sur son mur Facebook, les législateurs pro-charia afghans bloquèrent une proposition de loi sur « l’élimination de la violence contre les femmes » qui aurait permis de pénaliser le mariage avec des fillettes de 8-9 ans et de relever l’âge légal du mariage à 16 ans. Pour ces législateurs, cette proposition de loi sur le droit des femmes était anti-islamique. Dès lors, il était inutile d’en discuter.

D’autres petites filles de 8 ans continueront à subir des mariages forcés avec des hommes beaucoup plus âgés, à souffrir et à disparaître dans l’indifférence générale. La promotion de la pédophilie et du viol via des fatwas, conformes à la charia, autorisant le mariage des fillettes à partir de 8 ans, malgré l’opposition de certains musulmans éclairés, continue à progresser dans le monde islamique, car l’interdire serait porter atteinte à l’islam et à son prophète.

Invalider le mariage avec des fillettes reviendrait de facto à invalider le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants, qui s’était mariée avec lui à l’âge de 6 ans, sans son consentement. Dans l’esprit de ces dégénérés, ces législateurs de la charia, les mariages avec des petites filles ne constituent en rien une atteinte aux droits fondamentaux des enfants, puisque dans l’islam, les femmes et les petites filles n’ont aucun droit, seulement le devoir de se soumettre aux hommes, même si cela doit leur coûter la vie.

En Afghanistan, les provinces rurales sont régulièrement le théâtre d’atrocités, comme le cas de cette femme accusée d’avoir fui son domicile conjugal et dont l’exécution publique a été filmée, l’année dernière, dans un petit village de la région de Parwan. Il y a aussi le cas de Bibi Aisha, dont le nez et les oreilles ont été coupés par son mari – un Taliban – dans la province d’Uruzgan, et qui a fait la une de l’hebdomadaire américain « The Time » avec pour titre : « Ce qui arrivera si nous quittons l’Afghanistan ». Le magazine a été vertement critiqué pour cette couverture. Rien de surprenant. Il ne faut pas calomnier les Talibans, ces pieux serviteurs d’Allah.

Selon un rapport de Human Rights Watch, basé sur les statistiques fournies par le Ministère de l’Intérieur afghan, 600 femmes, victimes d’abus sexuels et de violence domestique, ont été accusées de « crimes moraux », pour avoir essayé d’échapper à leurs bourreaux et condamnées à la prison.

Et la communauté internationale, USA inclus, qui avait jusqu’alors fait pression pour améliorer le sort des femmes afghanes, est désormais plus intéressée par les discussions avec les Talibans, engagées en catimini, afin de préparer progressivement leur retour au pouvoir, comme force politique, dans un futur gouvernement de coalition, que sur le sort des femmes et des fillettes afghanes.

Combien de soldats américains et alliés ont perdu la vie dans ce pays, en combattant les Talibans, pour y apporter la démocratie ?

Ils sont morts pour rien, car les Talibans reprendront le pouvoir, continueront à faire régner la terreur par l’application stricte de la charia, source de bonheur pour l’humanité, selon certains illuminés coraniques, et les premières victimes seront encore et toujours les femmes et les petites filles afghanes, et cette fois-ci, ce sera avec le consentement tacite de l’Occident, pourtant grands défenseurs des Droits de l’Homme.

Mais les intérêts politiques semblent être guidés par des raisons obscures, qui nous sont incompréhensibles pour leur manque total de logique. Les sacrifiés sont toujours les gens du peuple, rarement ceux qui décident, à l’abri dans leurs bureaux cossus. Pour paraphraser Pascal, je pourrais écrire : « La politique a ses raisons que la raison ignore »

RIP petite fille afghane inconnue, petite mariée d’un jour, dont la pureté et l’innocence de ton enfance ne trouvèrent aucune grâce auprès de ton « mari » bourreau.

senegal8.com

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