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05 Jan

Gagnoa : Une lycéenne sodomisée par son soupirant et ses quatre complices

Ruser avec les hommes en leur faisant croire que vous êtes dans les dispositions d'acceptation de leurs avances, juste pour leur soutirer des sous ou autres faveurs matérielles, conduit des fois à des désagréments énormes.

C'est bien ce qui est arrivé à Mlle E.Y, élève en classe de 3ème dans un établissement scolaire à Gagnoa. Ville où elle vit également avec sa famille. Elle a, en tout cas, payé très cher sa roublardise.

De fait, informent nos sources, un jeune homme répondant aux initiales D.K, gérant d'un vidéo-club, est fou amoureux de l'élève. Il le lui fait d'ailleurs savoir. Alors, pour accroître ses chances de conquérir E.Y, il la couvre de petits cadeaux. Il n'hésite pas donc à «  dépouiller  » sa caisse pour faire plaisir à celle qu'il rêve de posséder. Il dépense sans compter, surtout que la jeune fille lui fait comprendre par son comportement aguichant, qu'ils finiront tout cela tôt ou tard dans un lit.

A entendre cela, D.K est comme fou. Et pourtant, à la vérité, E.Y n'éprouve rien du tout pour lui. Elle confie même à son entourage, qu'elle le fait rêver pour lui soutirer des sommes d'argent. L'ignorant, le gérant de vidéo-club continue de la couvrir de cadeaux. Mais lorsqu'il met sur la table, sa volonté d'entretenir enfin des rapports sexuels avec elle, E.Y a toujours des prétextes pour se débiner.

On en est là, lorsqu'arrive cette période de fêtes. D.K, sur demande de la fille courtisée, file à cette dernière, une bonne somme d'argent. Ce, pour qu'elle s'achète de beaux vêtements et se fasse une belle coiffure à l'occasion de ces fêtes qu'elle dit vouloir passer avec lui. Avec une forte promesse d'ébats sexuels endiablés. Mais tout cela n'est que foutaises. Et le jeune homme finit par le savoir.

En fait, alors qu'ils avaient rendez-vous dans la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 décembre 2014, pour le réveillon de la Noël, D.K ne voit point E.Y. Après avoir vainement attendu, il la joint au téléphone. La jeune fille qui répond, dit être vraiment désolée de ne pouvoir honorer le rendez-vous. Vu, à l'en croire, qu'elle est en ce moment même dans un camp de prière à Daloa avec sa tante malade. Et d'ajouter qu'elle y passera tout le temps, avant de rentrer seulement qu'après les fêtes.

Complètement abattu, D.K se rend au quartier «  Garahio  » où il compte retrouver des amis pour passer le temps avec eux. Et là, à son grand étonnement, il aperçoit E.Y en pleine réjouissance avec des hommes, dans un maquis. Et l'alcool coule à flot à sa table.

Le gérant de vidéo-club comprend donc que, jusque-là, elle ne jouait qu'avec ses sentiments amoureux pour l'escroquer. L'idée lui vient alors de se venger de cette fille qui l'a vraiment pris pour un «  gnata  ». Il fait appel à quatre de ses amis. Avec ses derniers, il arrête un plan pour faire payer à l'élève toutes ses roublardises.

Pour ce faire, ils conviennent de la soumettre à un viol collectif. D.K sollicite ensuite l'aide d'une fille qui lui permet d'appâter E.Y en l'entraînant hors du maquis. Le stratagème fonctionne à merveille. Lorsque la lycéenne comprend qu'elle est tombée dans un traquenard, il est trop tard.

Les trois gaillards qui menacent de la tuer si elle criait, la conduisent dans la pénombre, dans une bananeraie où ils la sodomisent à sang avant de décamper. C'est un homme qui allait se soulager, qui découvre E.Y avec le rectum en feu et en sang. La pauvre gémissait sous la douleur terrible. Il alerte aussitôt le voisinage et la malheureuse demoiselle est évacuée dans un centre médical.

Cette histoire est bien triste. Mais elle doit servir de leçon à d'autres jeunes filles qui voudraient bien se jouer des hommes en période de fête, rien que pour les gruger.

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