Une femme nigériane répondant au nom de Muina Adelami a saisi un tribunal à Lagos pour qu'il dissolve le mariage contracté avec Shuaib, son mari. Des motifs de sa plainte, Muina se plaint de la fréquence élevée des relations sexuelles que son mari entretient avec elle. Muina Adelami, jeune dame nigériane, la trentaine, a saisi un tribunal à Lagos pour qu'il dissolve le mariage contracté avec Shuaib, son mari.
Pour sa défense, Shuaib a reconnu avoir un goût pour le sexe. Mais que c'est son droit d'aller vers sa femme et refuse de voir la femme partir. Après avoir écouté les deux parties, le juge leur a donné un rendez-vous pour le 4 décembre. En driblant son mari, une absence qui a privé de facto ce jour-là, le mari de son sport préféré, la dame s'est rendue au tribunal ayant en charge les affaires familiales pour exposer son cas.
En allant droit au but, dame Muina a confessé que son mari aime trop le sexe. Et qu'il ne lui donne pas du temps pour se reposer. Racontant son calvaire, la plaignante a affirmé que leur rapport débute chaque soir juste avant minuit pour se poursuivre jusqu'à l'aube. Pour la pause, c'est le temps où son mari va au travail. Elle précisera que sitôt après son retour, Shuaib redemande à avoir le sexe.
Pour le plus difficile, la dame confessera qu'il « refuse de se lever même quand je pleure. Il me bat à chaque fois que je me plains ». Elle lâchera qu'avec ce rythme ininterrompu « … il va me tuer… ». Apres l'exposé de la version de la femme, parole a été donnée à l'accusé pour se défendre. En admettant que c'est son droit d'aller avec sa femme, Shuaib a prétexté que c'est pour éviter ces complaintes, qu'il a refusé d'épouser une jeune fille.
Par rapport au divorce que réclame sa femme au risque de mourir pour cause des relations sexuelles ininterrompues, Shuaib a rejeté cet argument en prétextant que le sexe ne tue pas. Pour huit ans de mariage, le couple a eu un enfant et deux fausses couches, lesquelles seraient causées par des relations ininterrompues de son mari. La femme a révélé qu'au début de leur mariage, elle a cru que l'appétit sexuel de son mari allait baisser avec le temps.
Mais que non! Il est resté constant dans son appétit sexuel. A cette allure, Shuaib est comparable à un lapin.
A.C.
Le Jour Plus
Voir aussi
- Clôture du FEMUA 15: A'Salfo et ses équipes visitent le poste de péage de Tiébissou
- Culture : des artistes ivoiriens renforcent leur capacité
- FEMUA 15: La ministre Françoise Remarck se réjouit de la qualité du travail accompli par A'Salfo
- Cinéma : projection à Abidjan en avant-première de la comédie romantique '' Marabout Chéri ''
- Côte d’Ivoire : démarrage officiel des inscriptions au concours de la Fonction publique le 24 avril prochain (Ministre)