Un homme est activement recherché en Inde pour le meurtre de sa mère survenu le soir du réveillon du Nouvel An. Juste après le crime, il a été vu en train de boire son sang.
(Attention, certains détails peuvent choquer). Un sacrifice humain mêlé à de la magie noire. Un homme de 27 ans est activement recherché à Korba, en Inde. Il est accusé d’avoir tué sa mère à la hache et d’avoir ensuite bu son sang et découpé son corps en plusieurs morceaux pour les faire brûler.
Le «Times of India» rapporte que le suspect surnommé désormais le «vampire cannibale» aurait attaqué sa mère de 50 ans après l’avoir traitée de sorcière et tenue pour responsable de l’échec de son propre mariage et de la mort de son père et de son frère.
Une voisine témoin du crime
C’est une voisine qui a prévenu la police, plusieurs jours après le drame. Témoin de cet acte barbare, elle a expliqué avoir mis du temps à se remettre du choc et n’avoir pas pu sortir de chez elle plus tôt. «Je tremblais de terreur et je me suis collée au mur pendant que cet acte bestial se déroulait devant mes yeux», a-t-elle confié. Après avoir massacré sa mère à la hache, l’homme serait rentré chez lui avec le corps qu’il aurait découpé et jeté dans le feu.
La police a déclaré que ce crime était bien un acte de cannibalisme. L’enquête a par ailleurs révélé au domicile de la mère et du suspect des cendres et des os carbonisés, ainsi que des éclaboussures de sang au sol et au mur. Des morceaux de chair humaine ont également été trouvés. Une chasse à l’homme a été lancée pour retrouver le suspect, décrit par ses voisins comme une personne influencée par le tantrisme, la magie et qui parlait souvent de sacrifices humains.
Voir aussi
- Gonzagueville : Son voleur lui impose un marathon d’environ 1 kilomètre à 3 h du matin
- Harcèlement sexuel : Une cliente et son marabout devant les tribunaux d’Abidjan
- Une vingtaine de victimes dans un accident de la circulation sur l'axe Koun-Fao-Agnibilékrou
- Toupah : Un camion de livraison de boisson se renverse, des villageois retrouvés ivres sur les lieux
- Libération des chambres universitaires : Des étudiants quittent les cités en pleurs