Les pirates informatiques ont pris le contrôle de cages de chasteté connectées avant de réclamer l'équivalent de 750 euros aux utilisateurs concernés.
Les pirates informatiques peuvent accéder à de nombreux appareils, même ceux auxquels on pense le moins comme les sextoys. Les amateurs s'étant procuré une cage de chasteté connectée destinée aux hommes auprès d'une entreprise chinoise en ont fait les frais ces derniers temps. L'étui emprisonne le sexe des utilisateurs, laissant à leur partenaire la responsabilité de le libérer ou non, et seule une application permet sa libération.
Problème, l'entreprise n'a pas prévu de bouton d'urgence. Sans doute n'avait-elle pas envisagé qu'un pirate informatique exploiterait une faille de sécurité et prendrait la main sur l'objet connecté. Plusieurs témoignages ont fait état de verrouillages intempestifs, sans préciser si le sextoy était en cours d'utilisation ou non.
Selon les chercheurs qui ont découvert le piratage, une disqueuse est nécessaire pour venir à bout du cercle en acier qui verrouille le dispositif. Autre solution, donner une rançon aux hackers, l'équivalent de 750 euros, versée en bitcoins.
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