Jacques comparaissait devant la cour d’appel d’Amiens, le 18 janvier, pour agression sexuelle. Il ne nie pas les faits, mais réfute avoir eu l’intention de les commettre.
Depuis son premier procès en novembre 2019, Jacques assène qu’il a peut-être mis un doigt dans le vagin de sa voisine, mais qu’il ne l’a pas fait exprès. Une défense pour le moins rocambolesque, mais qu’il a encore réitéré face à la cour d’appel d’Amiens, le 18 janvier. Et qui font dire à ses avocats (il a été défendu une première fois par Maitre Laurent puis par son associé Maitre Lavalois lors de l’appel, ndlr.) que pour qu’une infraction soit caractérisée, « il n’y a pas que les preuves matérielles, il faut aussi qu’il y ait eu l’intention de« . Or, le prévenu n’en démord pas. Il n’a pas voulu « doigter » sa voisine de 60 ans, qu’il dit connaître de longue date. Ses avocats demandent la relaxe pure et simple. Maitre Lavalois se base sur un arrêt de la cour de cassation concernant la chambre criminelle du 14 octobre 2020, pour appuyer sa demande.
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