Ce salarié britannique travaillant dans les pompes funèbres n'a pas été inspiré en se lançant dans cette mauvaise blague. Après avoir fait peur à l'un de ses collègues, avec la complicité d'un autre, il a été licencié, ainsi que son acolyte.
Ils ont voulu faire une blague à leur collègue, mais ils sont peut-être allés un peu trop loin. Plusieurs employés des pompes funèbres T Cribb & Sons, à Londres, ont mis en scène et filmé leur canular. Sur la vidéo, diffusée début mars sur Twitter, on voit un homme s’approcher d’un sac mortuaire. Son collègue, dans la confidence, en ouvre la fermeture éclair, et celui qui est caché à l’intérieur en jaillit en poussant un cri, faisant sursauter l’employé visé par la blague.
Le directeur présente ses excuses
Le directeur de T Cribb & Sons, John Harris, a déclaré au Daily Mail qu’il avait suspendu de leurs fonctions plusieurs personnes impliquées. « Cette blague n’aurait jamais dû avoir lieu ni être partagée. Je n’ai pas les mots ». Il a présenté ses excuses aux personnes qui auraient été offensées par la vidéo, qu’il juge irrespectueuse. « Je vais peut-être devoir perdre des salariés très expérimentés. L’un d’eux travaille avec moi depuis 25 ans ».
La vidéo a reçu plus des dizaines de milliers de mentions « J’aime ». Dans les commentaires, on constate en fait que peu de personnes s’offusquent de la blague comme le laissent entendre l’article du Daily Mail et la réaction du directeur des pompes funèbres. « Si cela les aide à affronter leur métier difficile, je ne vois pas le problème », commente un internaute, tandis que beaucoup d’autres écrivent qu'ils ont ri en la visionnant.
Voir aussi
- Gonzagueville : Son voleur lui impose un marathon d’environ 1 kilomètre à 3 h du matin
- Harcèlement sexuel : Une cliente et son marabout devant les tribunaux d’Abidjan
- Une vingtaine de victimes dans un accident de la circulation sur l'axe Koun-Fao-Agnibilékrou
- Toupah : Un camion de livraison de boisson se renverse, des villageois retrouvés ivres sur les lieux
- Libération des chambres universitaires : Des étudiants quittent les cités en pleurs