À l'issue d'une visite des installations des usines Manufacture ivoirienne de boissons (Mib) et Manufacture industrial and beverage and machinery (Mibem), ce mercredi 30 janvier 2019, le ministre Souleymane Diarrassouba a affirmé que, « il n'y a aucun risque sanitaire lié à la consommation des produits desdites usines »
Tout semble aller pour le mieux pour les dirigeants des usines Manufacture ivoirienne de boissons (Mib) et Manufacture industrial and beverage and machinery (Mibem). Le ministre du Commerce, de l'Industrie et de la promotion des Pme, Souleymane Diarrassouba, à l'issue d'une visite des installations desdites usines, a affirmé qu'il n'y a aucun risque sanitaire lié à la consommation des produits qui y sont issus. En clair, l'interdiction de la commercialisation du vin ''Château de France'', des liqueurs ''Calao'', ''Lord Jack'' et ''Pastis Marseille 45'' pourrait être levée sous peu.
« Nous venons de constater que le nécessaire a été fait. Je voudrais saluer les efforts qui ont été consentis par les dirigeants de ces usines, qui désormais, ont des installations qui respectent les normes en matière d'hygiène et de salubrité. Ce qui permet à cette société de poursuivre sans difficulté ses activités et de préserver les emplois », a félicité Souleymane Diarrassouba, ce mercredi 30 janvier 2019.
Pour arriver à cette certitude quant à la consommation de ces produits, le ministre a rappelé les différents tests qui ont été réalisés sur lesdits produits, ainsi que des analyses contradictoires faites par le Laboratoire national d'essai de qualité de métrologie et d'analyse (Lanema) et un laboratoire privé. « Je peux vous rassurer que ces analyses ont clairement indiqué qu'il n'y a aucun risque sanitaire lié à la consommation de ces produits », a insisté le ministre, faisant remarquer qu'il s'agit d'une bonne nouvelle pour l'ensemble des consommateurs.
Il faut noter que ce sont près de 250 millions de Fcfa qui ont été investis par les responsables de ces usines pour remettre à neuf leurs différents outils de production, mais aussi pour assainir leur environnement de travail.
Les responsables de ces usines ont, par ailleurs, déploré des pertes énormes évaluées à 1,3 milliard de Fcfa suite à la cessation de leurs activités.
Irène BATH
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