Les billets maculés ou déchirés et toutes autres monnaies sont valables dans les transactions commerciales, au niveau des banques, établissements financiers et de crédit tout comme les compagnies d’assurance, selon les directives de la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) qui régule la masse monétaire en circulation.
“Les billets maculés ou déchirés et toute monnaie font l’objet à la CNCE (caisse nationale des caisses d’épargne) d’un traitement conforme à la réglementation en vigueur, et sont bien acceptés à nos guichets”, rassure, dans un communiqué de rectification, la Direction de cet établissement financier qui s’inscrit en faux contre les déclarations d’un de ses responsables d’agence qui aurait, par méprise, semé le doute sur la question.
La CNCE s’excuse auprès de ses clients et partenaires pour les éventuels désagréments ou troubles que ces propos ont pu causer, et tient à assurer que la satisfaction clientèle reste sa priorité.
En Côte d’Ivoire les pièces de monnaie de 250 FCFA, 500 FCFA devenues lisses par l’usage sont refusées par des commerçants au motif qu’elles auraient perdu leur valeur marchande. Des commerçants et vendeurs en viennent souvent aux mains à propos de ces pièces usagées.
ask/nf
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